À toi,
Qui portes la tendresse comme un ciel porte les étoiles,
Même sans avoir porté la vie sous ton nombril.
Tu es mère,
Dans chaque geste qui réchauffe,
Dans chaque silence qui écoute.
À toi,
Qui étreins les enfants d’une autre
Avec les bras du cœur.
L’amour ne demande pas de gènes pour être vrai,
Il suffit qu’il soit là, patient, profond, indéfectible.
À toi,
Qui as connu la vie, puis l’absence,
Et dont les bras restent ouverts comme un berceau de souvenirs.
Ton chagrin est un chant sacré
Que le monde oublie trop souvent d’entendre.
À toi,
Qui as tant rêvé, prié, espéré,
Mais que la vie a laissée sans berceau à bercer.
Tu es la mère de mille possibles,
Celle dont la force est une flamme qu’aucune nuit ne consume.
À toi,
Maman d’ici ou d’ailleurs,
De chair ou d’âme,
De toujours ou d’un instant.
Tu es lumière, refuge, racine.
Et ton amour immense, unique fait pousser le monde.
Bonne fête à vous toutes
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